D’entrée de jeu Ludovic Louis surprend par ses nombreuses collaborations aussi variées que prestigieuses : Jimmy Cliff, Florent Pagny, Christophe Maé, Lenny Kravitz, Kanye West, The Black Eyed Peas, et dernièrement avec le Big in Jazz Collective. Le trompettiste natif du Havre, passé par Paris et installé depuis 10 ans à Los Angeles a un parcours parsemé d’étoiles. Il est musicien dans des shows télévisés (Grammys, The Voice, American Idol, Jimmy Fallon) et on a même pu le voir au cinéma dans « The Eddy » de Damien Chazelle, jouant un trompettiste de jazz, et plus récemment l’entendre dans « Babylon », du même réalisateur, dont il est l’un des musiciens de la bande originale.

Après dix ans de tournée avec Lenny Kravitz, qui n’hésite pas à le placer sous les projecteurs lors de longs solos improvisés, il décide de lancer enfin sa carrière personnelle avec un album dans le sillage du regretté Roy Hargrove et du RH Factor. C’est la musique de cet album « Rebirth » qu’il nous propose ici, un jazz funk lumineux et enjôleur placé sous le signe du groove.