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23 OCT. / 17:15
THÉÂTRE DE L’HEURE BLEUE

MAMMAL HANDS (GB)

Henry III

Art Blakey and the Jazz Messengers, The Bad Plus, Haruka Nakamura, Elliott Smith et Tom Waits : voici quelques-unes des influences que le trio Mammal Hands revendique. C’est peu dire que le groupe à les oreilles grandes ouvertes, puisqu’il trouve son inspiration à des sources aussi diverses que le jazz (plus ou moins moderne), l’indie pop, le folk, le classique contemporain, le rock ou la musique électronique.

Le trio a été formé en 2012 par le saxophoniste Jordan Smart, le pianiste Nick Smart et le batteur et percussionniste Jesse Barrett à Norwich, une ville située à l’extrême Est de l’Angleterre. Tous jouaient alors dans la rue, mais pas encore ensemble. Ça n’allait pas tarder.

La grande force du trio, c’est qu’il s’agit d’un vrai groupe, qui tourne ensemble depuis dix ans. Comme le disait Confucius (à moins que ce ne soit Aristote, ou alors Johnny Hallyday), le tout est plus grand que la somme des parties.

« Je pense qu’en musique improvisée particulièrement, il y a une grande différence entre un musicien qui met son cœur, sa vie dans ce qu’il fait, et un musicien qui n’a rien à dire », affirmait récemment Jordan Smart à un journaliste qui l’interrogeait. Aucun doute, les membres de Mammal Hands font clairement partie de la première catégorie.

Jordan Smart: Saxophone
Nick Smart: Piano
Jesse Barrett: Batterie et percussions